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Union Pour Louveciennes - Liste d'union de la droite et du centre

Une équipe, une éthique, un projet

CM 26-11-2015 : Intervention de Thibault ADELINE‐DELVOLVÉ : Question diverse (suite)


Voici le texte intégral publié dans les commentaires de l’article* paru dans «la Tribune de Louveciennes» :
" Bonjour, Guillaume CAMPO, co-gérant de la SARL Soleil Détente et pétitionnaire du projet d'implantation du centre de soin esthétique au 5 rue Vigée lebrun.
Nous avons dans ce dossier le sentiment que rien à été fait pour nous faciliter la tâche et dès le départ nous avons constaté un blocage au niveau de la Mairie, et plus particulièrement au niveau du service urbanisme "dirigé" par Madame Pozzo Deschanel.
Lorsque nous avons projeté de nous installer au 5 rue Vigée Lebrun, j'ai pris l'initiative de prendre rendez-vous en Mairie afin d'exposer notre projet. J'ai donc été reçu par M. Viard, nouvellement Maire de la ville, entouré du responsable du commerce M. Vatar ainsi que la responsable de l'urbanisme Mme Pozzo-Deschanel.
Lors de cet entretien, le premier point qui a été avancé concernait l'éventuelle concurrence et le tort que nous pourrions faire aux personnes déjà implantées dans la ville et proposant des soins esthétiques; Madame Pozzo-Deschanel, cliente de l'esthéticienne situé au dessus du salon de coiffure Karoll, a alors avancé que nous ne pouvions pas proposer ce type d'activité car cela risquait de faire de l'ombre voir de couler l'esthéticienne en place, or elle ne le savait pas encore mais cette esthéticienne nous avait proposé de racheter sa clientèle car elle avait décidé d'arrêter son activité, non pas par manque de business mais par choix personnel!!! A savoir, lorsque nous avons porté à la connaissance de Madame Pozzo-Deschanel cette information, qui devait resté confidentielle, dès le lendemain cette dernière s'empressait d'aller voir son esthéticienne et de lui demander des comptes!!!!!
Puis, un deuxième point assez étonnant m'a été demandé : ne seriez vous pas vendeur d'une partie du local? Monsieur le Maire, aimerait bien s'agrandir, et ayant le local voisin vous pourriez lui louer ou lui vendre une partie? La encore, Madame Pozzo-Deschanel à pris les premiers plans que nous avions apporté et nous a suggéré éventuellement de les modifier afin qu'on puisse trouver une solution pour M. le Maire. A l'issu de cette entretien, nous avons essayé de voir si nous avions la possibilité éventuellement de céder une partie, moyennant finance bien sûr, à M. le Maire, mais nous n'avons pas trouvé d'accord.
Nous avons donc mandaté notre architecte afin qu'il dépose le dossier pour notre institut et dès lors les problèmes ont commencés.
Dans un premier temps il nous a été dit que les pompiers classaient notre activité en bureau, et que notre projet n'était donc pas recevable. En effet, les pompiers ne pouvaient pas faire autrement puisque la Mairie, plus exactement le service urbanisme n'avait fourni l'ensemble des éléments que nous leur avions remis. Nous avons donc rétabli le problème en nous adressant directement à l'adjudant chef des pompiers qui avait reçu le dossier afin que nous soyons classés en tant que commerce.
L'instruction pouvait donc reprendre. Les Bâtiments de France nous ont donnés tous les accords à l'exception de l'enseigne qui devait être installée dans une uniformité des commerces voisins, nous avons obtenu notre dossier d'accessibilité handicapé (pour information nous rendions notre local accessible alors que les abords ne le sont pas et restent à la charge de la Mairie qui n'a pas de budget pour le faire......).
Il ne restait donc plus que l'accord de la Mairie et la, pour la première fois après plusieurs mois d'instructions, après plusieures demandes de rendez-vous toujours refusées (si l'on en croit Madame Pozzo-Deschanel, cette dernière nous aurait reçu à moultes reprises, c'est ce qu'elle a d'ailleurs dit lors du dernier conseil municipal), on s'est vu recevoir un refus car notre activité ne relevait pas selon la Mairie du commerce mais de l'artisanat, et qu'en conséquence il y avait un changement de destination du local et donc le PLU exigeait alors 2 places de stationnement et notre projet n'en comptait qu'une.
Nous avons donc cherché une fois de plus une solution, seuls sans pouvoir rencontrer les personnes de l'urbanisme. Il fallait trouver une place dans un périmètre de moins de 300 mètres du local, soit à acheter soit à louer. Nous avons récemment trouvé cette place mais une fois de plus, nous avons tenté de joindre M. le Maire, qui est censé être de permanence le lundi entre 14 h et 17 h, en vain depuis 3 semaines, nous avons également tenté de joindre Madame Pozzo-Deschanel, en Mairie les mardi matin et jeudi matin, en vain également depuis 3 semaines......nous avons laissés plusieurs messages mais à priori ils n'ont pas de temps à nous accorder, comme depuis le début d'ailleurs.....
A force d'attendre le local à a priori trouvé un nouveau preneur, qui va effectivement vendre des meubles et des luminaires mais pas principalement via le 5 rue vigne Lebrun, mais par internet puisqu'il s'agit d'un e-commerce...... Je ne suis pas sur que la ville de Louveciennes trouvera cette activité intéressante d'autant plus que le local devrait resté en apparence tel qu'il est, avec peut être un coup de peinture.....Pour une ville ou l'esthétique prime, ce local va finalement resté bien triste, et n'apportera rien de plus aux Louveciennois.
Enfin je finirais en disant que nous avions rencontré une bonne partie des commerçant du centre des clos qui n'étaient absolument pas opposés à notre projet, bien au contraire et qui n'ont jamais parlé du problème de stationnement que la Mairie pense que nous allons occasionner!!!! "
* article consultable ici : Tribune de Louveciennes

Conseil municipal du 26 novembre 2015 
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